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| Théâtre contemporain | Cirque | Spectacle de rue | Théâtre pour enfants | Cabaret | Danse |
| La cantate à trois voix |
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Roberto Zucco | ||
| La Tétralogie du Cendrier | L'augmentation | |||
| Yadja | Liliom | |||
| Le village en flammes | Abîme, aujourd'hui la ville | |||
| Escurial |
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La Cantate à trois voix |
| de Paul Claudel - Mise en scène : Madeleine Marion |
| Création des costumes : Julie Deljéhier |
| Studio-théâtre de la Comédie Française - 2003 |
Trois femmes une nuit de solstice
Des premières ébauches à la réalisation...
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On crée un costume pour un interprète: les croquis de répétition servent à découvrir le corps du comédien, sa démarche, sa voix, pour imaginer un costume qui lui appartienne. |
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Beata la veuve... l'ombre... |
Laeta la vierge... la grappe... |
Fausta la laborieuse le froment |
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Les maquettes en couleur sont le préalable à la réalisation: elles permettent au metteur en scène de visualiser le costume final et accompagnent le travail d'échantillonnage. |
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| Photos : Cosimo M. MAGLIOCCA © | ||
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Les costumes en scène
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...ce que la presse en a dit...
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Roberto Zucco |
| de Bernard-Marie Koltès - Mise en scène : Guy Lumbroso |
| Création des costumes : Julie Deljéhier |
| Théâtre de Vanves - 2005 |
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Pour servir une écriture aussi forte que celle de Koltès, il faut savoir rester discret... Proposer un univers subtilement décalé, créer des familles de personnages, des dissonances, tout en restant au plus proche du vêtement. |
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La Tétralogie du Cendrier |
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de Luc Cendrier - Mise en scène : José Valverde, Albert-André Lheureux et Eric Hénon |
| Création des costumes : Julie Deljéhier |
| Vingtième Théâtre - Le Proscenium - Paris - 2004 |
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Un auteur, quatre pièces, trois metteurs en scène, six comédiens, le tout dans un univers joyeusement absurde! Il était intéressant sur cette création de plonger, au coeur d'une même écriture, dans l'esthétique de trois metteurs en scène très différents et d'arriver à servir chacun d'entre eux sans jamais perdre de vue la cohérence du spectacle. Un exercice difficile mais passionnant... |
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| L'Île du Café Club | |||
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| Boulevard | Si bleu, si calme | ||
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| Opéra Bu | |||
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Yadja ou la tête ailleurs |
| de B. Merzer et D. Wollman - Mise en scène : Zohar Wexler |
| Création des costumes : Julie Deljéhier |
| Théâtre de l'Opprimé - Paris - 2004 |
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Cette pièce autobiographique de Blanca Metzner raconte avec humour et pudeur la vie en Israël d'une femme rescapée des camps de la mort qui tente sans succès de continuer à vivre. La chanteuse Talila interprétait superbement ce texte, passant en un clin d'oeil de la jeune polonaise Yadja, devenue gouvernante usée et absente, à la petite Orna, enfant gâtée de Tel-Aviv dont elle a la charge, en passant par beaucoup d'autres personnages, du passé et du présent. La sobriété étant de mise pour ce spectacle, j'avais imaginé une simple robe grise, accessoirisée par un tissu blanc qui faisait office de châle, de tablier ou de doudou... |
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Le village en flammes |
| de R.W. Fassbinder - Mise en scène : Guillaume Riant et Julien Feder |
| Création des costumes : Julie Deljéhier |
| Théâtre 347 - Paris - 2001 |
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Racontant comment un village entier en vient à manger son gouverneur, cette pièce très baroque de Fassbinder inspirée de Lope de Vega imposait une démesure à peine contrôlée. Les habitants du village avaient des corps un peu monstrueux, déformés par leur fonction sociale (hanches pour les femmes, sexe pour les jeunes hommes, pectoraux pour les gardes, etc). |
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Les religieux étaient des illuminés en rollers ...et la Cour de Madrid proposait une image caricaturée et décadente de la mode actuelle! |
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Escurial |
| de Michel de Ghelderode - Mise en scène : Xavier Gallais |
| Création des costumes : Julie Deljéhier |
| Ecole Florent - Paris - 2000 |
Un cauchemar de Breughel au fond d'un château en Espagne...
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L'augmentation |
| de Georges Perec - Mise en scène : Julien Feder et Guillaume Riant |
| Création des costumes : Julie Deljéhier |
| Théâtre du Renard - Théâtre de l'Opprimé - Paris - 2004 |
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... ou de l'entreprise considérée comme une machine à broyer les êtres. Six voix, représentant chacune un élément syntaxique d'une question (en l'occurence: comment aller voir son chef de service dans l'espoir d'obtenir une augmentation), poussent jusqu'à l'absurde la cruauté du système hiérarchique. Pas de personnages donc, mais des figures de style, éléments insignifiants par eux-même du grand tout de ce langage déshumanisé. Pas de costumes donc, mais un uniforme à peine personnalisé, qui se délite peu à peu jusqu'à la folie. |
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Liliom |
| de Ferenc Molnar - Mise en scène : Guy Lumbroso |
| Création des costumes : Julie Deljéhier |
| Café de la Danse - Paris - 2003 |
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Cette pièce du début du XXème siècle se déroule dans une atmosphère de fête foraine, un tourbillonnement qui s’achève en drame. Ayant repris la création à l’issue d’une première tournée, j’ai gardé l’esprit de départ (les dégradé de rouges et les maquillages clownesques) en ajoutant au dernier acte, celui des désillusions, une gamme de verts tristes. |
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Abîme, aujourd'hui la ville |
| de François Bon - Mise en scène : Claude Baqué |
| Création des costumes : Julie Deljéhier |
| Création Festival Avignon off - 2000 |
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Comment habiller des voix? Les voix des ces sans-abris réunis par François Bon, et dont on voit les visages projetés sur un écran, des voix qui crient, qui se souviennent, certaines qui se sont tues. Peut-être en faisant de l'acteur lui-même un écran, une surface presque abstraite qui se laisse traverser, impressionner par la matière des mots... |
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...ce que la presse en a dit...
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